Fin d'une grande histoire...

16h, 1er juillet 2010, atterrissage à l'aéroport de Lyon Saint Exupéry. Mon année Erasmus s'achève. Après 10 mois de vécu à Madrid débute ce sentiment de tristesse après un retour en France peu sollicité. Tout a commencé ce matin avec les adieux avec mes colocs, et j'espère que ce moment ne se renouvellera jamais. Beaucoup de tristesse, de douleurs et de larmes de devoir se quitter et de partir après tant de moments passé ensemble. Mes colocs aussi ressentent cette douleur profonde et c'est pas aussi facile que ça pour passer à autre chose, pour moi, ça me fait comme un vide et retrouver le domicile familial accentue un peu cette deception (non pas que j'aime pas mes parents mais que la vie en coloc' eh bien en ce moment présent, c fini...). Madrid, ville magique qui m'a rendu heureux et triste, qui m'a fait connaitre tant de choses et apprendre à devenir autonome, plus responsable et qui m'a donné le gout pour les voyages et les sorties. Mon Madrid, c'est aussi ce sentiment de liberté et cette envie toujours présente de croquer la vie à pleine dent ! Je laisse la bas beaucoup de mes proches, de grandes amitiés qui se sont fait au fil des mois mais aussi certaines habitudes. Dorénavant, tout est à reconstruire ici en France et déjà, ça me parait difficile. Bref, jamais je n'oublierais mon départ, ce jour de 7 septembre. Arrivé à Madrid dans une ville inconnue sans avoir l'assurance d'être logé dans un appartement avec une tonne de valise sur moi ! C'est ce qu'on appelle partir à l'aventure et franchement quelle aventure !!! Ce blog je l'espère montre bien comment à débuter cette magie et comment elle s'achève en ce jour. Une chose est certaine, ma vie a changé et ce retour va me donner une nouvelle philosophie de la vie. Je vais enfin vivre à la manière que j'ai apprécié pendant cette année. L'ignorance des querelles familiale qui sont d'une grande bassesse (c'est sans commentaire). N'oublions pas aussi quelques nouvelles résolutions qui se feront petit à petit. Il me reste à vous remercier, vous lecteurs ou lectrices de ce blog qui a partagé à plusieurs reprises mes expériences et à pu suivre un peu le cours de mon année. Je m'excuse d'avance si ces articles vous ont paru ennuyant ! Pour d'autres et j'en doute pas, ce blog grâce à un seul coup de clic, vous aura donné une certaine idée de ce que c'est que de vivre une année Erasmus sur Madrid. J'espère sincèrement que ce blog contribuera à prendre la bonne décision et que vous avez pris quelques bonnes idées pour votre propre année. Ainsi s'achève ce blog avec beaucoup de peines et l'envie folle de revenir gouter aux plaisirs de la vie Erasmus. Je voudrais remercier pour finir une amie qui m'est très chère, Gladys qui a été un amour pendant ces derniers jours et m'a aidé d'une manière inoubliable. Je voudrais lui dédier ce blog en signe d'éternelle reconnaissance. Je vous quitte sur ce proverbe de Voltaire "Connais le monde et sais le tolérer, pour le jouir, il le faut effleurer"

Week-end à Séville

Que demander de plus que lorsque l'on passe son dernier week-end de voyages dans la célèbre capitale andalouse ! Une ville d'ailleurs qui était supposé m'accueillir en année Erasmus mais finalement mon choix scolaire et mes envies se sont penchés pour Madrid. Il fallait absolument que j'aille découvrir cette ville tant aimé par beaucoup de touristes et maintenant, je ne doute plus de son charme. Le vieux centre de Séville est d'une grande beauté avec sa cathédrale ou repose Christophe Colomb (ancienne mosquée, son Alcazar et ses Archives des Indes classé au Patrimoine Mondial de l'Unesco). Rien que ça, ça vaut le détour et puis n'oublions pas son histoire, là franchement, pour moi qui adore l'Histoire, c'est du régal ! Séville "porte de l'Amérique" et lieu ou partait et revenait de nombreux navires remplit d'or et de trésors du nouveau continent ! J'ai trouvé mes petits plaisirs et ça n'a fait que nourrir et amplifier ma curiosité. N'oublions pas cette ambiance andalouse ou chaque nuit apporte de nouvelles joies et gaieté. Des rues bondé toute la nuit et des bars qui s'étendent jusqu'aux ruelles pour pouvoir accueillir touristes, jeunes et habitants de la ville pour déguster aux tapas ou prendre un bon repas avec autour d'eux des musiciens. J'ai aussi apprécié ces moments ou je me reposais au bord du Guadalquivir, (enfin un fleuve qui à de la gueule comparé au petit ruisseau que l'on à sur Madrid...). Mais aussi se sentir à l'aise et allongé dans un parc tout en admirant en même temps la place d'Espagne, c'est du rêve en entendant au loin les carrosses de chevaux passant et repassant dans les mêmes lieux touristiques. Séville, si je pouvais la décrire, c'est une ville très riche par son passé et de sa culture mais aussi trop chaude niveau température, franchement passer son week end à Séville fin juin, c'est limite ! Enfin... voila, il s'agit là de mon avant dernier article sur ce blog, un article qui à l'image des autres a été écrit avec beaucoup de plaisirs et de nostalgie. J'espère qu'il aidera beaucoup de personnes à se décider à venir voir ces lieux splendides. Je dois vous avouer que tout ces voyages ont donné un sens à cette année Erasmus et je ne pouvais pas imaginer une année Erasmus à rester sur Madrid.

El Escurial ou la demeure des rois d'Espagne

Au pied des montagnes à une cinquantaine de km au nord ouest de Madrid se trouve le monastère et ancien palais royal de l'Escurial. Construit sous les ordres de Philippe II, ce palais d'une très grande rigueur architecturale occupe une place importante dans l'histoire de la monarchie espagnole. En effet, il ne s'agit pas seulement d'une simple résidence royale, il est aussi le lieu ou sont conservées les sépultures des anciens rois et reines d'Espagne. On peut découvrir dans la basilique royale juste en dessous de la cathédrale, la nécropole. Il s'agit d'une pièce ronde de grande hauteur avec sur les côtés les tombes des grands rois de l'histoire d'Europe comme Charles Quint par exemple. Par son immensité et ses grandes dimensions, ce monastère est comparable à un vrai labyrinthe, il serait très facile de s'y perdre si il n'y avait pas d'indications pour le sens de la visite. Ce palais n'a pas le même style que le palais royal de Madrid, et recouvre plusieurs tons avec une richesse artistique très développé. Certaines pièces vous font penser à une cellule par sa petite taille tandis que d'autres vous donnent la folie des grandeurs ! J'ai apprécié plusieurs pièces, notamment la salle des batailles et l'ancienne bibliothèque royale avec des ouvrages conservé datant parfois du 5ème siècle. La qualité de conservation est remarquable et pour protéger le papier, les ouvrages sont retournés dans le sens contraire afin que le papier puisse respirer. Bref, beaucoup de choses apprises et de beaux lieux de découvert. Cette visite constitue l'une des dernières de mon année. Commence désormais la fameuse nostalgie des excursions et des anciens bons moments en regardant les albums photos dans mon ordinateur. Deux semaines, c'est ce qu'il me reste exactement pour essayer de profiter et de réaliser mes derniers souhaits avant de faire mes valises et de mettre un terme à cette année de mobilité. Et puis, ces derniers jours, les premiers retours d'étudiants Erasmus viennent de commencer, de quoi rajouter un peu plus à cette sensation de fin d'année.

Parlons Profs !

Bon, d'un coup, ça parait étrange de parler de choses de ce type en période de quasi vacances et raison de plus dans un blog ou le plaisir, les découvertes et les fêtes sont les élements principaux. Mais faire une impasse la dessus, ça aurait été un peu dommage, alors autant en profiter avant de clore ce blog le moment du départ. Donc les professeurs, autant d'un côté que de l'autre des Pyréennés sont les mêmes et ont toutes sorte de caractères, on pourra trouver des profs, assez sympas, d'autres plus stricts et bosseur. Certains vont donneront la passion de la matière, d'autres vous donneront une indigestion de ces lectures, bref... qu'en est il pour moi ? Eh bien, pour cette année, je ne vais pas trop me plaindre (enfin pour le moment puisque j'attends impatiemment mes résultats de second semestre), mes profs ont plutôt été cool avec nous, élève Erasmus. Il ne faut pas croire qu'on a eu le droit à des meilleurs traitements de faveurs, bien au contraire, c'était les mêmes sujets d'examens et les mêmes devoirs à rendre (ça pouvait être par exemple, un dossier d'investigation d'une vingtaine de pages en espagnol...). La plupart de mes professeurs sont de bonne réputation dans leurs matières et en Espagne. Chacun ont leurs propres voies et renommée. Je resterais attaché à certains profs pour leurs qualités d'enseignement mais aussi pour leurs sympathie, forcément faire un exposé oral devant un public espagnol et avoir un encouragement du professeur, ça fait toujours plaisir. Donc de ces professeurs, on trouve un peu de tout les genres et de toutes les professions. Oui je parle d'autres professions, tous ne sont pas seulement professeur d'université et suivent une autre carrière en dehors de la fac. J'ai des professeurs écrivains, d'autres spécialistes de l'Union Européenne , des journalistes, des anciens hommes politiques reconverti, de grands théoriciens dans les relations internationales bref la liste est longue. Je garderais quand même pour chacun d'entre eux des bons souvenirs, surtout quand il m'arrivait de lire des articles de presse le lundi matin en plein cours et de voir la tête de mon prof dans l'une des pages du journal. Ce sont de bonnes surprises et ça donne tout de suite une bonne opinion sur les compétences de son professeur. Voila, je vais clore désormais cette page scolarité alors qu'on se trouve en pleine période de mondial de football. Un mondial ou l'équipe d'Espagne se présente comme favorite mais qui me provoque beaucoup d'antipathie. Pour les espagnols, le mondial est déjà clos, ils savent déjà que leurs équipes remportera la compétition. C'est un peu cette fierté qui me prend la tête, attendons de voir le résultat et les match avant d'être aussi prétentieux. Sinon, me restant quelques jours encore avant mon retour programmé le 1er juillet, je trouverais le temps pour aller visiter Séville, mon ultime excursion si tout se passe bien le prochain week-end ! Croisons les doigts !!!

Quand ça chauffe, c'est piscine !

Pas besoin de réfléchir plus d'une fois lorsque les températures dépassent chaque jour les 30°, c'est direction au plus vite à la piscine. Ça faisait déjà quelques temps que les piscines étaient ouvertes sur Madrid, donc en ce début de week-end après une semaine de partiels achevée, y'a pas photos, la piscine se devait d'être dans mon planning de la journée. Pour la toute première fois, on fait une sortie entre colocs et ça s'est plutôt bien passé. Pendant que l'un cherchait à bronzer au maximum et que l'autre n'hésitait pas à s'intéresser aux filles se baignant (et plus si vous m'entendez bien), bah de mon côté j'ai passé quasi la moitié du temps dans l'eau de la piscine olympique. Oh oui, un peu d'eau pour se rafraichir et retrouver les meilleurs moments lorsqu'on est en vacances. Je n'ai toujours pas envie de dire que je suis en vacances, car je suis en attente de mes résultats de partiels, je vais surement attendre beaucoup de temps avant de tout recevoir mais je prefere m'assurer de ne pas crier "Vacances" trop vite, on ne sait jamais. Enfin bon, cette semaine a été aussi marquée par une bonne nouvelle du côté de Lyon et de mon école cette fois. J'ai reçu un message de Sciences Po Lyon me notifiant mon acceptation en Master Affaires Européennes. Ouf, la c'est la libération, j'attendais depuis pas mal de temps la réponse et là, je suis enfin soulagé et content ! Je ferais ce que j'aime et ce master va droit dans mes intentions et projets de carrières professionnelles. Autrement, le dernier mois commence déjà sur les chapeaux de roue et il faut que je me planifie mes derniers voyages, sorties ou fêtes. C'est déjà assez dur dans la tête de réaliser que je fais certaines choses pour la dernière fois. Il n'y a qu'une vérité lors de l'année Erasmus, le plus dur n'est pas le départ mais le retour. Je voudrais d'ailleurs vraiment supprimer ce mot du dictionnaire français... Mais bon, il faut faire avec, toute histoire à une fin et une nouvelle s'ouvrira dès mon retour. Je ne suis pas sencé écrire ça encore mais malheuresement, ma pensée reste trop accroché à ça...

Dernière visite et parc d'attractions

Après une longue attente des deux côtés et un cadeau d'anniversaire prêt à se réaliser, voila ces mêmes attentes accomplies avec l'arrivée d'une amie d'enfance sur les terres madrilènes. Beaucoup de joies, de rires et de bons moments de partager. A nouveau, une visite faite de la ville avec les places, monuments et musées réputés. Ça m'a paru un peu comme une sorte d'au revoir de mon côté alors qu'il me reste encore un mois à profiter de cette année de folie ! Si il y a bien une année inoubliable, ce sera celle là, pleine de joies, de découvertes, de surprises et de nouvelles amitiés. Elodie a été ravi, ça ne fait aucun doute pour moi et j'ai pu profiter d'instants magiques en sa compagnie. Je dois ajouter bien sur une journée au parc d'attractions de Madrid (depuis le temps que je voulais y aller et bien voila, chose faite). Aucun regrets, ce parc est phénoménal, les attractions pour les adultes sont à couper le souffle et donnent des sensations énormes. C'est là que je viens de comprendre pourquoi les allemands et les espagnols sont réputés en Europe pour être les experts en conception de manège a grande sensation. Pour la première fois, j'ai pu essayer les montagnes russes ou l'on fait des looping en position de départ retourné suspendu a des rails a 50m au dessus du sol avec une vitesse de 100 km sur les courbes. La, franchement, émotion assurée. Même chose pour d'autres attractions mais la liste est trop longue. Ce que je retiens de cette journée ça aura été à nouveau ce plaisir de partager des moments avec ces amis et d'évacuer un peu son quotidien qui peut parfois être chiant. Voila quasi une semaine qu'Elo a quitté Madrid et la psychologiquement, j'entame un retour à la réalité avec l'entrée dans mon dernier mois sur Madrid (ce qui fait inclure les partiels de fin d'année + les dernières soirées et excursions). Donc autant que j'en profite au lieu de penser à des choses moins marrantes...

Madrid s'est vétu de rouge et blanc !

Il y a deja plusieurs jours que l'ambiance festive se ressent à Madrid, pas besoin de chercher très loin pour en connaitre la raison, seulement de suivre l'actualité footballistique et de savoir que l'Atletico de Madrid décroche sa première coupe de l'Europa League après des décennies de disette sur le plan européen. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point les supporters ont été emu par cette victoire arraché dans les dernières minutes des prolongations d'une finale serrée contre une équipe de Fulham bien dangereuse. Mais désormais c'est fait, enfin ! Les Colchoneros ramènent la Coupe à Madrid et avec la plus grande fierté, l'entraineur est idolatré, sans oublier un buteur de grande classe au nom de Forlan qui est devenu un mythe après avoir marqué tout les buts de son équipe pendant les demis et la finale de l'Europa League. J'aime bien la manière dont les supporters le surnomme dans les cris. Ils lancent des "Uruguayo, Uruguayo" en lien avec ses origines. A ne pas oublier Agüero, un jeune joueur argentin de talent et qui aura surement un grand avenir devant lui, peut-être le prochain Torres de l'équipe. Donc, comme vous le savez désormais l'Atlético remportant la Coupe a décidé de dédier sa victoire à ses supporters dans la rue en offrant la coupe au dessus d'un bus anglais. Pas le temps de rester à Hambourg, lieu de la finale, le lendemain matin, les joueurs sont deja à Madrid et entament leurs circuits dans la ville pour attendre les acclamations et ovations des aficionados. Je me suis posté à hauteur du départ, c'est à dire au Stade Vicente Calderon. J'ai eu une très bonne idée, parce que c'était le lieu avec la moins grande concentration de supporters et j'ai pu m'approcher du bus tout en prenant de bonnes photographies. Après, c'est devenu de la folie, plus on avançait dans le circuit, plus la masse de foule augmentaient. Arrivé à la Cathédrale de l'Almudena de Madrid, les joueurs sont entrés dans l'Eglise avec la Coupe (j'avais bien dit que le foot ici c'est une religion). Ca m'a donné le temps de prendre mon souffle après une course dans les ruelles de Madrid. Après la sortie des joueurs, j'ai à peine eu le temps de reprendre des photos que le bus repartait pour une nouvelle destination. Dans les chants des supporters, il y a eu beaucoup de moqueries envers le Real Madrid, qui a dépensé beaucoup pour... rien (en attente de la dernière journée de championnat). Le bus des joueurs est même passé par le lieu incontournable du Real en période de victoire (la fontaine de Cibeles). Ici, en Espagne, c'est vu comme de la pure provocation mais pour une fois, c'est le petit qui en profite sur le gros alors on va pas se gêner. Vive l'Atletico de Madrid ! Et bientôt peut être le doublé avec la finale de la Coupe du Roi contre le FC Séville !

Parc volcanique de Timanfaya

Comme promis, je rédige un article spécial sur le parc volcanique de Timanfaya. Un des lieux les plus merveilleux et des plus protégé de l'ile ou se croisent des paysages d'apocalypse et des paysages lunaires. C'est donc en matinée que j'ai pu aller visiter ce parc naturel se situant dans la partie sud de l'île. Il s'agit de l'un des lieux volcaniques les plus réputés au monde (de part ses anciennes éruptions de 1730 qui a duré pendant 6 ans et celle de 1824). Étendu sur une superficie de 51 km², ce parc est constitué d'environ 300 cratères appartenant à une centaine de volcans. A titre d'indication, les 3/4 de l'île sont recouvertes de roche volcanique ce qui peut donner une image de la force des éruptions. de type hawaïen. Constamment surveillé par des sismographes et des experts scientifiques, ce parc volcanique est désormais un haut lieu touristique pour les amateurs de volcanisme et de nature. Lorsque j'étais au dessus de la montagne de feu, j'ai appris quelques minutes plus tard l'explication de ce nom. Un guide m'a expliqué que si l'on creuse à peine à deux mètres de profondeur et que l'on depasse la croute terrestre, la temperature touche les 400 degrès. Ce qui donne l'explication des geysers que j'ai pu voir. Un professionnel du parc a lancé dans une des failles un saut d'eau et à peine deux secondes plus tard, une forte explosion a fait jaillir l'eau sous forme de vapeur en dehors de la faille. Simplement epoustouflant. A 27 mètres en dessous de la terre, la température est de 700 degrès, ce qui montre bien que les volcans de l'île sont toujours actifs. Dans l'histoire de l'île, ce volcan a enseveli de nombreux villages dont celui de Timanfaya (qui porte le nom actuel du parc). Bref, les paysages sont a couper le souffle et sont en totale opposition avec l'autre partie de l'ïle bien plus vivante et habitée. Dans ce parc, on fait face à l'immensité et la force de la nature et c'est quelques chose à ne pas rater. Rien à rajouter, les images sont là pour comprendre mes mots et les sensations que j'ai eu. Tout simplement inoubliable !